NOS ENGAGEMENTS ET LEURS RÉSULTATS
Si vous êtes ici, c’est que vous vous demandez comment remettre le monde à l’endroit. Que vous avez sans doute commencé et envie de coopérer ? Mesurez les résultats que nous avons obtenus, et si vous trouvez cela convaincant, associez-vous à notre mouvement, et mangez Bien-Élevé !
… c’est possible, dans un monde à l’endroit.
Dans un monde à l’endroit, prendre soin des humains, des animaux et de la nature rend un grand service à la société, donc cela mérite d’être rémunéré. Chez nous c'est en moyenne 38 000 € de chiffre d'affaires par an et par exploitation.
Dans un monde à l’endroit, on avance plus loin ensemble, on partage nos bonnes pratiques gratuitement, on mutualise nos achats entre coopérateurs pour nos céréales, nos probiotiques... Ça demande de la coopération, un peu plus de travail, mais ça fait moins de dépenses et ça améliore le modèle d’élevage. Chez nous, c'est 43 000€ de marge brute supplémentaire par an et par exploitation, en moyenne.
Dans un monde à l’endroit, les produits qui sont meilleurs pour les papilles et la planète coûtent un tout petit peu plus cher. Les nôtres, c’est 26 centimes de plus par barquette… pas énorme, pour remettre le monde à l’endroit ! Vous êtes de plus en plus nombreux à l’accepter. Merci !
Dans un monde à l’endroit, les éleveurs-coopérateurs possèdent tous ensemble leur atelier de transformation. Moins d’intermédiaires, donc plus de revenus pour les élevages. Question de bon sens.
Du Danemark à vos assiettes, de l’Espagne à vos fourchettes… ça fait des sacrées balades pour des tranches de jambon, non ? Si on renversait la situation ? Si on soutenait un modèle français ?
Dans un monde à l’endroit, les éleveurs sont d’ici, les cochons sont d’ici, les céréales qu’ils mangent aussi. Tout d’ici, c’est plus simple, meilleur, plus sûr. Pas besoin de bateaux pour ramener le maïs du champ d’à côté.
Dans un monde à l’endroit, un éleveur-coopérateur est responsable de bout en bout : de la culture des céréales au goût de son jambon, en passant par le terroir qu’il habite. Du coup, on lui demande des comptes sur tout… à commencer par ses collègues, ses voisins et ses enfants ! Il a intérêt à tout faire bien. Mais ça le stimule tous les jours.
Dans un monde à l’endroit, un modèle comme celui-ci, on a envie qu’il dure ! D’abord en assurant la relève (50% des agriculteurs doivent partir à la retraite d’ici 10 ans…). Là, on prend le sujet en main, nous formons des jeunes ainsi que des adultes en reconversion (36 dans l’école de Compagnons de notre coopérative en ce moment), avec un parcours d’apprentissage personnalisé, supervisé par 75 maîtres compagnons.
Dans un monde à l’endroit, tout ce qui fonctionne attire du monde. Sans avoir la prétention d’avoir déjà tout réussi, nos premiers résultats ont rapidement donné envie : nous sommes passés de 50 à plus de 200 éleveurs-coopérateurs en 6 ans, une dynamique unique en France avec des cahiers des charges aussi exigeants. Encourageant !
…c’est pour cela que l’on n’ira pas se faire du blé sur le dos de la nature !
Dans un monde à l’endroit, les agriculteurs préservent l’écosystème dont ils tirent leurs ressources. Chez nous, par exemple, nous semons l’équivalent de 12 600 jardins en plantes mellifères pour stimuler la pollinisation, pour enrichir naturellement nos terres.
Dans un monde à l’endroit, nourrir doit toujours faire du bien ; chez nous, notre filière Agriculture Alternative alimente ses cochons au sein de fermes respectueuses de l'environnement, avec des céréales cultivées localement sans pesticide.
Dans un monde à l’endroit, les agriculteurs qui choisissent ces modes de cultures sont mieux rémunérés. Normal, arracher les mauvaises herbes mécaniquement, c’est du boulot quand même ! Pareil pour ceux qui nourrissent leurs animaux avec ces céréales sans pesticide. Nous avons un principe : inciter systématiquement à la transition, pour que le plus grand nombre s’y mette.
Dans un monde à l’endroit, on crée le plus de valeur possible avec ce que la nature nous donne; chez nous, les effluents d’élevages deviennent de l’engrais organique pour l’agriculture, on produit aussi du biogaz (notre coopérative a construit un modèle unique en Europe). Bref, 95% de nos rejets sont valorisés, pour préserver les ressources et notre équilibre économique.
Dans un monde à l’endroit, on accélère la transformation du monde agricole, car les désordres coûtent de plus en plus cher. Nous, on est déjà à 130 ! 130 mesures en faveur du bien-être animal et du développement durable, que nous avons choisies pour nous mettre nous-même la pression.
Dans un monde à l’endroit, à cette vitesse-là, vaut mieux aller dans le bon sens. Le bon sens c’est le vôtre : votre souhait de nous voir progresser sur les questions de bien-être animal et d’environnement. Et nous sommes d’accord avec vous. Alors ces 2 questions pèsent pour plus de 80% dans les mesures de progrès que nous avons prises, fondées sur les 5 libertés fondamentales définies par l’Organisation Mondiale de Santé Animale et de l’environnement.
Dans un monde à l’endroit, progresser sans cesse conduit, un jour ou l’autre, à être en avance. Nous, ça a commencé en 2009, quand nous avons arrêté la castration, tandis qu’en France c’est toujours autorisé ; tout juste la loi oblige à le faire sous anesthésie et analgésie à partir de janvier 2022. L’Europe, elle proscrit, l’usage systématique des antibiotiques à partir de 2022 aussi. Nous, c’est fini partiellement depuis 2014, totalement depuis 2018.
Tout cela est permis grâce à notre fonctionnement en modèle coopératif. Nous associons les savoir-faire de nos éleveurs coopérateurs, à ceux de nos équipes pour vous proposer : le goût, l’origine et la qualité. C’est ça une coopérative de la fourche à la fourchette ! Il fallait y penser !
Notre modèle coopératif
Chez Brocéliande, il n’y a pas d’actionnaires, nos éleveurs sont adhérents : ils détiennent et gèrent la coopérative.
Ils participent ainsi aux grandes décisions de la vie de la coop !
Découvrez toutes les bonnes manières d'une coopérative qui s'active !
Nos bonnes manièresNOS VALEURS
Si nos éleveurs ont décidé (dès 1966 !) de recourir à une forme coopérative d’organisation, c’est parce que cela reflète un système de valeurs qui nous ressemble, fondé sur 3 piliers :
Brocéliande est une marque militante qui reflète :
- L’engagement de nos éleveurs dans leur démarche de qualité (lutte contre l’antibiorésistance, nourriture sans OGM, bien-être animal…).
- L’engagement de toute la coopérative envers le respect des hommes et des animaux.
Nos engagements c'est pas du flan !
Ensemble on est plus fort, on s'entraide !
Nos éleveurs sont solidaires entre eux et envers la communauté. Le modèle coopératif leur permet de mutualiser les coûts mais aussi les risques et de partager les expériences et leur savoir-faire.
Ainsi, la solidarité, c'est une valeur forte chez Brocéliande !
Chez Brocéliande, on ne reste pas les deux pieds dans le même sabot ! (expression favorite ;-) )
Ici, tout le monde s'active pour faire avancer notre démarche de progrès, et ce, à tous les niveaux ! En élevage, bien sûr, mais à tous les maillons de la chaîne, chaque jour de nouvelles idées émergent pour mijoter un monde meilleur, avec une longueur d'avance!
ÊTRE BIEN ÉLEVÉ,
C'EST PORTER DES VALEURS